Tsunami Aftermath
door Arnauld Bernard et Nicolas Datiche - Off Source
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Over het boek
Le projet « Tsunami Aftermath » a vu le jour un dimanche pluvieux, dans un bistrot
parisien près de la gare Montparnasse. Marre de l’hiver, marre de la campagne
présidentielle, marre de rester assis. Couvrir l’anniversaire du tsunami au Japon, un an plus tard, paraissait être une bonne idée pour changer d’horizon. Après des centaines de
kilomètres de route au milieu de paysages enneigés et dévastés par des vagues qui avaient pu atteindre 30 mètres de haut, après des dizaines de rencontres avec des habitants au
courage intact et aux souvenirs bouleversants, l’objectif était atteint : dépeindre, avec
simplicité et sans chercher à zoomer sur des larmes, le quotidien des gens qui ont tout
perdu et qui tentent de reprendre une vie normale, après une catastrophe dont les
stigmates resteront à jamais gravés en eux.
Le Tôhoku s’est vidé d’une partie de sa population, on peut parcourir des kilomètres sans croiser personne, et ceux qui sont restés tentent de survivre au milieu des ruines, dans des habitations temporaires et sans perspectives de relogement ou de travail avant plusieurs années. A condition de reconstruire. Les villages-fantômes du département de Fukushima, où la radioactivité est telle que des évacuations ont eu lieu à plus de 70 kilomètres de la
centrale accidentée de Fukushima Dai-Ichi, n’ont pas eu cette chance. Ils n’ont plus de
perspective, à court comme à long terme.
parisien près de la gare Montparnasse. Marre de l’hiver, marre de la campagne
présidentielle, marre de rester assis. Couvrir l’anniversaire du tsunami au Japon, un an plus tard, paraissait être une bonne idée pour changer d’horizon. Après des centaines de
kilomètres de route au milieu de paysages enneigés et dévastés par des vagues qui avaient pu atteindre 30 mètres de haut, après des dizaines de rencontres avec des habitants au
courage intact et aux souvenirs bouleversants, l’objectif était atteint : dépeindre, avec
simplicité et sans chercher à zoomer sur des larmes, le quotidien des gens qui ont tout
perdu et qui tentent de reprendre une vie normale, après une catastrophe dont les
stigmates resteront à jamais gravés en eux.
Le Tôhoku s’est vidé d’une partie de sa population, on peut parcourir des kilomètres sans croiser personne, et ceux qui sont restés tentent de survivre au milieu des ruines, dans des habitations temporaires et sans perspectives de relogement ou de travail avant plusieurs années. A condition de reconstruire. Les villages-fantômes du département de Fukushima, où la radioactivité est telle que des évacuations ont eu lieu à plus de 70 kilomètres de la
centrale accidentée de Fukushima Dai-Ichi, n’ont pas eu cette chance. Ils n’ont plus de
perspective, à court comme à long terme.
kenmerken / functionaliteiten & details
- Hoofdcategorie: Portfolio's
-
Projectoptie: Klein vierkant, 18×18 cm
Aantal pagina's: 78 - Datum publiceren: feb 28, 2013
- Trefwoorden photo, recit, reportage, japan, earthquake, terre, tremblement, miyagi, tohoku, tsunami, Japon
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